Le Pride Month : comprendre, se souvenir, agir

Le Pride Month, ou Mois des fiertés, est célébré chaque année au mois de juin dans de nombreux pays à travers le monde. C’est un moment de visibilité, de mémoire et de mobilisation pour les droits des personnes LGBTQIA+ (lesbiennes, gays, bisexuel·les, trans, queer, intersexes, asexuel·les et plus encore).

Au-delà des marches colorées, des drapeaux arc-en-ciel et des campagnes de communication, ce mois est l’occasion de rappeler que l’égalité n’est pas encore une réalité pour toutes et tous. Il invite à affirmer fièrement qui l’on est, à rendre hommage aux luttes passées, et à continuer à construire des environnements inclusifs, dans la société comme au travail.

Dans cet article, plongez dans l’histoire du Mois des fiertés, découvrez quels sont ces enjeux contemporains dans la société et dans le monde du travail, apprenez-en plus sur quelques figures phares de la lutte pour les droits des personnes LGBTQIA+ et sur ce que vous pouvez faire à votre échelle.

 

D’où vient le Pride Month ? Une histoire de lutte et de courage

 

⌛ Retour sur une nuit de juin 1969

L’histoire du Pride Month trouve sa source dans les émeutes de Stonewall, survenues en juin 1969 à New York. À cette époque, les personnes LGBTQIA+ sont victimes de fortes discriminations et d’une répression systématique. Des lois contre l’homosexualité sont encore effectives dans de nombreux Etats américains, et les bars fréquentés par les personnes LGBTQIA+ font souvent l’objet de descentes de polices lors desquelles ont court des violences importantes.

Dans la nuit du 27 au 28 juin 1969, une nouvelle descente de police a lieu au Stonewall Inn, bar fréquenté par la communauté LGBTQIA+. Or cette nuit-là, des personnes – en grande majorité trans et racisées – ont refusé de se laisser faire et se sont soulevées pour dénoncer la répression et exiger leurs droits. Pendant plusieurs jours, la police et les manifestants se sont opposés au travers d’affrontements violents.

 
 

🏳‍🌈 Un soulèvement catalyseur du mouvement LGBTQIA+, aux Etats-Unis et dans le monde entier

Ces émeutes marquent un tournant majeur dans l’histoire du mouvement LGBTQIA+. Elles n’ont pas seulement constitué un acte de rébellion spontanée contre la répression policière, mais elles ont également joué un rôle fondamental dans la visibilité publique des minorités sexuelles et de genre - dans les médias et la société en général. Jusqu’alors, les personnes LGBTQIA+ étaient largement marginalisées et souvent contraintes de vivre dans l'ombre, sans droits, subissant discrimination et stigmatisation.

Stonewall a permis aux personnes LGBTQIA+ de réaliser qu’elles n’étaient pas seules dans leurs luttes, mais faisaient partie d’un mouvement plus large pour l’égalité et les droits civiques ; permettant à ces communautés de s’affirmer plus ouvertement et de revendiquer leurs droits.

Un an après ces événements, pour honorer la mémoire des émeutes et affirmer leur présence dans l’espace public, la première “Gay Pride” – aujourd’hui connue sous le nom de Marche des Fiertés (nom permettant d’inclure toutes les identités et orientations) – a été organisée à New York en 1970. Cette marche, qui a rassemblé des milliers de personnes, est devenue un acte symbolique de célébration de l’identité LGBTQIA+ et un moyen de revendiquer des droits civiques, d’égalité et de respect. Elle a ouvert la voie à d'autres manifestations similaires dans d'autres villes américaines, puis dans le monde entier, chaque année au mois de juin. En France, la première marche des fiertés est organisée en 1977 à Paris. Les revendications principales de cette marche étaient la reconnaissance officielle de l’homosexualité et sa dépénalisation.

C’est ainsi que le mois de juin est devenu non seulement un mois de commémoration des événements de Stonewall, mais aussi un mois d’action pour continuer à défendre les droits des personnes LGBTQIA+.

 

💡Le saviez-vous ?

L’évolution de l’acronyme LGBTQIA+
À ses débuts, le mouvement pour les droits des personnes LGBTQIA+ utilisait l’acronyme "GLBT", avec le "G" pour Gay en premier, car les hommes gays étaient souvent les plus visibles et les plus entendus et les femmes lesbiennes étaient marginalisées. Ce n’est qu’après l’épidémie de VIH/sida, qui a touché de manière disproportionnée la communauté gay, que l’acronyme a été inversé. En effet, les lesbiennes ont également joué un rôle clé de soutien, notamment dans la prise en charge des malades et la dénonciation de l’indifférence des autorités sanitaires, accroissant ainsi leur légitimité au sein de la communauté LGBTQIA+.

La légalisation du mariage homosexuel
En 2001, les Pays-Bas ont été le premier Etat à légaliser le mariage homosexuel. Avant cela, plusieurs pays avaient instauré des partenariats civils, offrant une reconnaissance légale sans les droits complets du mariage. Ce fut un moment historique pour les droits des personnes LGBTQIA+.

L’origine de l’arc-en-ciel comme symbole
Créé par Gilbert Baker en 1978, à la demande du politicien américain homosexuel Harvey Milk, le drapeau arc-en-ciel symbolise la diversité LGBTQIA+. Chaque couleur représente un aspect spécifique : sexualité (rose), amour (rouge), guérison (orange), lumière (jaune), nature (vert), harmonie (bleu) et esprit (violet). Ce drapeau est devenu un symbole mondial de fierté et de lutte.

Le rôle des célébrités dans la visibilisation
En 1997, Ellen DeGeneres fait son coming out à la télévision, devenant ainsi l’une des premières célébrités à s’affirmer publiquement. Cet acte a eu un impact majeur sur la visibilité des lesbiennes dans les médias et dans la culture populaire. De même, Laverne Cox, en 2014, devient la première personne trans à être nominée pour un Emmy Award, contribuant à briser les barrières dans l’industrie du divertissement. À travers son rôle dans Orange is the New Black et ses interventions publiques, elle a joué un rôle crucial dans la représentation des personnes trans, mettant en lumière les enjeux de discrimination et de transition, tout en inspirant de nombreuses personnes à s'affirmer.

 

 

Quels sont les enjeux historiques et contemporains du Pride Month ?

 

📣 Des enjeux historiques

Le Pride Month ne se résume pas à une célébration festive : il a porté et porte encore de fortes revendications.

Au fil des années, les enjeux du Pride Month ont évolué. Après les émeutes de Stonewall, le principal défi était la visibilité et la reconnaissance légale des droits des personnes LGBTQIA+, avec une forte revendication contre la répression policière, pour la liberté d’expression et la légalisation de l’homosexualité. Le mois de juin était une plateforme pour défendre les identités de genre et combattre l’homophobie et la transphobie.

Dans les années 1980 et 1990, l’épidémie de VIH/sida a intensifié les enjeux, avec une stigmatisation accrue de la communauté. Le Pride Month est devenu un moyen de rendre hommage aux victimes du VIH, tout en réclamant un accès équitable aux soins et un soutien renforcé pour la communauté.

Plus récemment, les enjeux ont évolué pour inclure des problématiques telles que les droits des personnes trans, la reconnaissance des identités de genre non binaires et l’inclusion des personnes LGBTQIA+ racisées.

 

🌍 De grands enjeux contemporains

La Journée internationale des droits des femmes n’est pas qu’un symbole : elle joue un rôle crucial pour éduquer, mobiliser et rappeler que l’égalité des genres est loin d’être atteinte.

  • Lutter contre les discriminations persistantes : Les personnes LGBTQIA+ font face à des violences, du rejet, ou à l’isolement, aussi bien dans la sphère privée que dans l’espace public ou au travail.
  • Promouvoir l’inclusion : Créer des environnements où chacun·e peut s’exprimer librement, sans crainte de jugement, et où les parcours de vie sont reconnus et respectés.
  • Soutenir la santé mentale : Les personnes LGBTQIA+ sont plus exposées à l’anxiété, à la dépression ou à des pensées suicidaires, souvent en raison des discriminations vécues.
  • Visibiliser les diversités au sein même de la communauté : Orientations, identités de genre, origines, classes sociales… Le Pride Month met en lumière la pluralité des parcours LGBTQIA+, en particulier ceux des personnes trans, racisées ou en situation de handicap, qui sont souvent invisibilisées.
 

🤝 L'inclusion LGBTQIA+ : un combat continu encore trop souvent invisibilisé

Le Pride Month rappelle que l’inclusion des personnes LGBTQIA+ est encore loin d’être une réalité dans de nombreux contextes. Bien que des progrès aient été réalisés, notamment en matière de reconnaissance juridique ou de représentations plus diverses dans les médias, de nombreux obstacles persistent, illustrant l’urgence d’une mobilisation collective.
  • Les discriminations persistent : Selon une étude de l’Agence européenne pour les droits fondamentaux, en 2023 plus d'un tiers des personnes LGBTIQ (37%) déclarent avoir été victimes de discrimination au cours de l'année précédant l'enquête. Les discriminations les plus courantes sont sur le lieu de travail.
  • La violence s’accroît : D’après le ministère de l’Intérieur, depuis 2016, les atteintes « anti-LGBT+ » ont fortement progressé, avec une augmentation de 129 % pour les crimes et délits et de 115 % pour les contraventions. Les atteintes enregistrées se manifestent principalement sous forme d'injures ou de diffamations (57 %), tandis que le harcèlement et les atteintes à caractère sexuel représentent respectivement 5 % et 2 % des crimes ou délits.
  • Le monde du travail n’est pas exempt des violences : D’après le baromètre LGBT+ 2024 de l’Autre Cercle et de l’Ifop, 53% des employé·es LGBTQIA+ déclarent avoir entendu des expressions LGBTphobes (“enculé”, “gouine”, “travelo”, etc.) et 3 employés LGBTQIA+ sur 10 déclarent avoir subi des agressions.
  • La visibilisation et la reconnaissance reste controversée : La publicisation de l’homosexualité d’un personnage public reste mal acceptée. En effet, d’après une enquête de l’Ifop de 2023, bien que plusieurs ministres macronistes aient récemment fait leur coming-out, celui-ci n'est pas toujours perçu positivement : à peine 25 % des Français approuvent que des personnalités politiques LGBTQIA+ fassent leur coming-out en assumant publiquement leur homosexualité ou leur identité de genre.

Ces chiffres montrent que les inégalités et les violences à l’égard des personnes LGBTQIA+ sont persistantes et nécessitent une action concrète pour créer des environnements inclusifs. Pour mieux comprendre les défis de l’inclusion des personnes LGBTQIA+ à l’échelle mondiale, voici quelques études et rapports clés qui offrent une analyse approfondie des données actuelles :

 

✊ Des enjeux qui perdurent et de nouveaux défis à relever

  • Les droits des personnes trans restent précaires, y compris dans les pays occidentaux.
  • La montée des discours anti-LGBTQIA+ dans certains contextes politiques ou religieux demeure préoccupante, avec des lois répressives touchant particulièrement les droits des personnes trans, comme aux États-Unis.
  • Les personnes LGBTQIA+ racisées, en situation de handicap, migrantes ou précaires sont souvent ignorées et laissées en marge des débats sur l’égalité et l'inclusion.
  • Dans l’entreprise, la peur de faire son coming out reste une réalité pour beaucoup, ce qui montre que l’inclusion ne va pas de soi, même dans des sociétés où les droits des LGBTQIA+ sont théoriquement reconnus.

Aujourd’hui, des avancées sont indéniables (mariage pour tous, reconnaissance juridique, représentations plus diverses…), mais de nombreux défis restent à relever. L’engagement collectif est plus que jamais nécessaire pour surmonter ces obstacles. Le Pride Month est donc aussi un appel à la vigilance, à la solidarité et à la responsabilité collective.

 

👩🏽👱🏼Des figures emblématiques à ne pas oublier

De nombreuses figures ont marqué l’histoire des droits LGBTQIA+. En voici quelques-unes, à (re)découvrir et à faire connaître :

 
Marsha P. Johnson : militante trans noire, présente lors des émeutes de Stonewall, figure incontournable du mouvement queer

Marsha P. Johnson (1945-1992) est une militante trans noire dont l’engagement a façonné l’histoire du mouvement LGBTQIA+. Présente lors des émeutes de Stonewall en 1969, elle a contribué à faire de cet événement un tournant pour les droits des personnes LGBTQIA+. Aux côtés de Sylvia Rivera, son rôle a été fondamental pour l'émergence du mouvement queer tel qu'on le connaît aujourd'hui.

Co-fondatrice du Street Transvestite Action Revolutionaries (STAR), Marsha a créé un espace d'entraide pour les personnes trans et les travailleuses du sexe. La STAR House accueillait notamment les personnes trans à la rue. Marsha a toujours été une voix puissante pour dénoncer les discriminations raciales et de genre au sein du mouvement, en particulier pour les personnes trans noires et marginalisées.

Aujourd’hui, elle est une icône de la résistance et un modèle d'inclusivité. Son héritage se perpétue à travers les luttes actuelles pour les droits des personnes trans et racisées. Elle reste un symbole de courage et de lutte contre l’injustice.

 
Harvey Milk : premier homme politique ouvertement gay élu aux États-Unis

Harvey Milk (1930-1978) fut un pionnier des droits LGBTQIA+ aux États-Unis, étant le premier homme politique ouvertement gay élu à un poste important. En 1977, il est élu au conseil municipal de San Francisco, un exploit significatif pour la communauté LGBTQIA+ à l’époque.

Milk a activement combattu les discriminations et a fait campagne pour la protection des homosexuels. Il est notamment connu pour le rôle qu’il a joué dans l’adoption d’une loi contre les discriminations en matière d’emploi et de logement, fondées sur l’orientation sexuelle ; mais aussi pour son opposition à la proposition 6 qui visait à interdire les homosexuels de travailler dans les écoles publiques. Son élection a incarné un espoir pour une société plus inclusive.

Harvey Milk fut assassiné en 1978, avec le maire George Moscone, par un ancien conseiller municipal. Sa mort a choqué le pays, mais a renforcé son statut de symbole du courage et de l'engagement pour les droits des LGBTQIA+.

 
Audre Lorde : écrivaine, féministe et militante lesbienne noire américaine, dont les écrits sont encore une source d’inspiration

Audre Lorde (1934-1992) est une figure majeure du féminisme, de l’antiracisme et du mouvement LGBTQIA+. Poétesse et essayiste, elle a utilisé sa plume pour dénoncer les oppressions croisées vécues par les femmes noires, les personnes LGBTQIA+ et les personnes marginalisées. D’après ses mots, elle était "poétesse, guerrière, mère, lesbienne [et] noire".

Dans des ouvrages comme Sister Outsider, Lorde explore les thèmes de l’identité, de la sexualité et de la lutte pour les droits des minorités. Elle a plaidé pour une solidarité féministe intergénérationnelle et intersectionnelle, arguant que les luttes contre le racisme, le sexisme et l’homophobie sont indissociables. Militante lesbienne noire, elle a également critiqué la marginalisation des femmes de couleur dans le féminisme dominant.

Son œuvre a eu un impact durable sur le mouvement féministe, notamment en introduisant l’idée de l’intersectionnalité avant qu’elle ne devienne un terme couramment utilisé - notamment du fait de sa diffusion par Kimberlé Crenshaw. Si elle est peu connue en France, Audre Lorde reste une figure majeure du mouvement féministe de la deuxième vague aux Etats-Unis.

 
Stéphanie Nicot : figure française du militantisme trans et cofondatrice de l’Inter-LGBT

Stéphanie Nicot est une militante trans française, cofondatrice de l'Association Nationale Transgenre puis présidente de la Fédération LBGT, des organisations majeures pour la défense des droits des personnes LGBTQIA+ en France.

Depuis les années 1990, elle se bat pour la reconnaissance des droits des personnes trans, en particulier en matière de changement d'état civil et d’accès aux soins de santé adaptés. Elle a été une figure clé dans la lutte pour la dépathologisation des transidentités et la reconnaissance des droits des personnes trans dans la législation française. Son engagement lui a permis de défendre des lois pour améliorer les conditions de vie des personnes trans en France, notamment pour simplifier la procédure légale de changement de sexe.

Stéphanie a également joué un rôle déterminant dans l’élargissement de la visibilité des personnes trans et a milité pour une meilleure inclusion des trans dans les mouvements LGBTQIA+. Son travail a permis de faire avancer les droits des personnes trans au sein de la société et dans le monde du travail, où les discriminations restent encore fréquentes.



Chacune de ces personnes a contribué, par son courage, à faire progresser la cause LGBTQIA+.

 

Et dans le monde du travail ? Quels enjeux ? Quels défis ?

 

👁️ Pourquoi les entreprises doivent s’impliquer ?

L’entreprise est un lieu clé dans le parcours de vie des personnes LGBTQIA+, et peut être, selon les contextes, un espace d’épanouissement ou de mise en danger.

Certaines personnes préfèrent cacher leur orientation sexuelle ou leur identité de genre par peur du rejet, des moqueries ou des impacts sur leur carrière. D’après plusieurs études, comme celle de l’IFOP, près d’une personne LGBTQIA+ sur deux n’est pas out au travail, par crainte de discrimination. Ce climat de méfiance ou d’invisibilité peut peser lourd sur la santé mentale, l’engagement, et le sentiment d’appartenance.

Les entreprises ont donc un rôle crucial à jouer pour :

  • Créer un climat de sécurité psychologique, où chacun·e peut être soi sans crainte de répercussions ;
  • Former les équipes RH, les managers et les salarié·es aux enjeux LGBTQIA+, pour sensibiliser, déconstruire les stéréotypes et adopter les bons réflexes ;
  • Mettre en place des politiques internes inclusives, avec des chartes, des processus de signalement efficaces et des mesures concrètes contre les discriminations ;
  • Donner de la visibilité à toutes les identités, dans la communication interne, les événements et les actions de sensibilisation.
  • Soutenir des initiatives pendant le Pride Month, mais aussi agir tout au long de l’année, de manière authentique et cohérente.

L’inclusion n’est pas une option ni un simple geste de communication, mais un levier essentiel de bien-être, de performance et de justice sociale pour les entreprises qui souhaitent engager durablement leurs équipes. En prenant ces défis à bras-le-corps, les entreprises ont tout à gagner : elles répondent à des enjeux humains fondamentaux tout en renforçant la cohésion des équipes, attirant les talents et incarnant des valeurs fortes qui contribuent à leur pérennité.

 

🔎 Ce que nous proposons chez Gloria pour célébrer le Mois des fiertés en entreprise

Chez Gloria, nous pouvons vous accompagner tout au long de l'année pour sensibiliser vos équipes aux enjeux LGBTQIA+ et promouvoir une culture d’entreprise inclusive : conférences, ateliers, formations, quiz, newsletters, expériences en réalité virtuelle… Chaque intervention est pensée pour déconstruire les stéréotypes, encourager le dialogue et soutenir l’égalité des droits au travail, dans une approche à la fois engageante et bienveillante.

 

Conférences

 

E-learning

Ateliers

 

Newsletter

Quiz interactif

 

Blindtest

 

✊🏻 S’impliquer individuellement et collectivement

Chaque individu peut contribuer à la visibilité et à l'inclusion des personnes LGBTQIA+, tant sur le lieu de travail que dans la vie quotidienne.

Au niveau individuel :

  • Participer activement aux initiatives organisées par l’entreprise pendant le Pride Month.
  • S'informer sur les enjeux des droits LGBTQIA+ via des lectures, podcasts ou formations.
  • Remettre en question ses propres préjugés et agir contre l'homophobie, la transphobie et toute forme de discrimination.

Au niveau collectif :

  • Encourager les discussions ouvertes sur les droits des personnes LGBTQIA+ et la diversité sexuelle et de genre.
  • Soutenir les collègues LGBTQIA+ et intervenir en cas de comportements discriminatoires ou de micro-agressions.
  • Proposer des idées pour renforcer l'inclusivité dans l’entreprise, comme la mise en place de politiques de non-discrimination et de soutien aux personnes LGBTQIA+.

Ensemble, individus et organisations peuvent faire du Pride Month un moment fort de soutien et de visibilité pour la communauté LGBTQIA+, en transformant cette période en un véritable moteur de changement pour un environnement professionnel plus inclusif et respectueux de toutes les identités.


 
Célébrer le Mois des fiertés, c’est reconnaître les droits fondamentaux de chacun·e à être soi. C’est aussi comprendre que les avancées sociales ne sont jamais acquises. En tant que citoyen·ne, collègue, manager ou RH, chacun·e peut jouer un rôle pour faire reculer les discriminations et faire progresser la justice sociale. Alors, en juin comme tout au long de l’année, soyons fièr·es, solidaires et engagé·es.

Que ferez-vous cette année pour vous engager dans l’avancée des droits des personnes LGBTQIA+ ?